Un spectacle-conférence
à propos d'Offenbach, l'opérette
et le second Empire
écrit et mis en scène par François Leonarte
Ah, Offenbach et ses librettistes, toute une époque...
Nous connaissons le célèbre galop d'Orphée aux enfers (le french cancan), nous identifions sa célèbre barcarolle, les mélodies de La belle Hélène ou de La vie parisienne nous sont familières, mais jusqu'à quel point Offenbach et ses librettistes ont-ils chamboulé nos vies?
Savons-nous combien ses opérettes, avec ses situations ambigües et ses personnages bouffons et décomplexés, ont modifié les moeurs pendant le Second Empire, avec une influence durable jusqu'à nos jours?
Offenbach a modelé l'image de la France dans le monde. Il a aussi notablement contribué à la libéralisation des pensées. Cette petit spectacle sous forme de conférence, dont le titre reprend un des refrains les plus parlants de La vie parisienne, rend hommage au célèbre compositeur avec le même sens de l'humour dont il ne s'est jamais dessaisi.
L'OPÉRETTE DE LA VIE
Un spectacle-conférence
à propos d'Offenbach, l'opérette et le second Empire
Texte, mise en scène et interprétation : François Leonarte
chant : Annastina Malm
piano : En cours de distribution
Annastina Malm
mezzo-soprano
Après des études de lettres et de dramaturgie, la mezzo-sopranosuédoise Annastina Malm intègre la très prestigieuse Guildhall School of Music and Drama à Londres.
Elle débute sur scène dans le rôle de Rosina dans Il barbiere di Sivigliade Rossini, en tournée avec l’Opéra-Studio de Genève, puis participe àl'Académie Baroque Européenne d'Ambronay. Elle s'est produite à la Cité de la Musique à Paris, à la Chapelle Royale du Château de Versailles, à la Maison du Théâtre à Amiens, ainsi qu’en tournée , avec la Compagnie Opéra Eclaté, avec la compagnie Les Frivolités Parisiennes.
Parmi ses nombreuses prises de rôle, citons le rôle-titre dans Juditha Triumphans de Vivaldi, Costanza dansL’Isola disabitata de Haydn, la partie de mezzo-soprano dans La Petite Messe Solennelle de Rossini ainsi que les Lieder eines Fahrenden Gesellen de Gustav Mahler avec l’Ensemble Instrumental Romand à la Salle Frank Martin, Genève. En 2012, Annastina apparaît sur grand écran dans le rôle de la Marieuse, mezzo-soprano solo, dans Noces, un long-métrage de Philippe Béziat. Elle fait ses débuts en Belgique à l'Opéra Royal de Wallonie dans le rôle-titre de l'opéra Sibyl et les Silhouettes (création mondiale) de Line Adam, et se produit à Vadstena Summer Opera Festival en Suède, dans Silverringen à Vadstena Gamla Teater. Elle a donné des récitals à Paris et à Istanbul avec le pianiste Magnus Svenssonsur l'invitation de l'Ambassade de Suède.
Passionnée de musique de chambre, Annastina nourrit un vif intérêt pour la musique ancienne, le jazz et lacréation contemporaine. En masterclass et en coaching, elle a eu le privilège de bénéficier des conseils de Gabriel Garrido, Guillemette Laurens, Jory Vinikour, Antoine Palloc, Jennifer Larmore, Elène Golgevit ouAnne-Marie Fontaine.
Le spectacle-conférence
Dans l'univers théâtral et parathéâtral, on dirait que de nombreuses formes ont vu le jour dernièrement : conférences théâtralisées, contes scénifiés, opéra ou oratorio semi-scénifié...
Ou plutôt, existantes depuis des lustres mais non officialisées, ces nouvelles formes n'ont gagné leurs lettres de noblesse que récemment, sous l'impulsiton des nombreux avatars du théàtre de rue.
Ainsi, L'OPÉRETTE ET LA VIE est un spectacle-conférence, ou une conférence-spectacle. Ce n'est certes pas une pièce classique, avec une histoire, un début et une fin. Ce n'est pas une fiction, puisque tout ce qui est raconté a trait à l'Histoire de la musique et des moeurs. Mais ce n'est pas une simple conférence, puisque la musique y intervient, puisque des anecdotes y sont théâtralisées, puisqu'il y a un constant va-et-vient entre la salle et la scène...